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09/04/2011

Les Déferlantes

images.jpegJ'ai enfin lu ce beau roman dont tout le monde me parlait. J'avais une certaine réticence. En effet, j'avais été déçue par le dernier opus de Claudie Gallay L'AMOUR EST UN ÎLE dont l'histoire se déroulait en Avignon, ma ville, durant le festival. C'était le premier roman de cette écrivaine que je lisais et j'avoue que je n'avais pas pu m'attacher aux personnages ni au style d'écriture. C'est donc sur la pointe des pieds que j'ai pénétré dans Les déferlantes. J'ai immédiatemnt été happée par l'histoire. Une narration à la première personne, des personnages taiseux, pour la plupart repliés dans le coquille de leur passé blessé et, pour certains, rongés par la rancune comme les voitures sur le quai du petit port sont rongées par le sel des embruns.

L'histoire, dont je ne dirais rien, de peur de trop dévoiler, se déroule lentement, au rythme de la vie près de La Hague, au milieu des oiseaux, des effluves marins et des nuages. Les déferlantes, ce sont ces énormes vagues qui se déchaînent lors de tempêtes, mais ce sont aussi celles des vies. Petit à petit les pièces du puzzle se mettent en place,et le secret de toutes ces existences ordinaires et fortes est révélé.

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